L'original de ce travail est lu en seulement 8 minutes. Nous vous recommandons de le lire sans abréviations, donc intéressant.
Un jeune homme, marchant avec la fille Nadia, lui propose une balade en traîneau depuis une colline. Nadia a très peur, mais le narrateur la persuade et la fille cède. En descendant, le gars dit doucement: "Je t'aime, Nadia!"
S'éloignant légèrement du «patinage», elle regarde avec interrogation le narrateur. La jeune fille est tourmentée par la question de savoir qui a dit ces mots - un jeune homme ou le vent. Malgré la peur, elle propose de monter à nouveau, espérant entendre à nouveau ces mots.
Le lendemain matin, le narrateur reçoit une note: «Si tu vas à la patinoire aujourd'hui, alors viens après moi. N. " À partir de ce jour, Nadia et lui vont tous les jours à la patinoire et, en descendant les traîneaux, chaque fois qu'il parle à voix basse, les mêmes mots que Nadia a l'habitude d'utiliser comme morphine.
En mars, un jeune homme se réunit à Saint-Pétersbourg. Deux jours avant le départ, le narrateur est assis dans un jardin d'enfants, séparé par une clôture de la cour dans laquelle Nadya vit. À travers une brèche dans la clôture, un jeune homme voit une fille. Après avoir attendu un coup de vent, il prononce les quatre mêmes mots et s'en va.
Nadya est déjà mariée. Leurs voyages à la patinoire et les mots prononcés par le narrateur ne sont pas oubliés - pour elle, c'est le souvenir le plus heureux, le plus émouvant et le plus merveilleux de la vie ...
Et maintenant, quand il a vieilli, le conteur ne comprend plus pourquoi il a prononcé ces mots, pour lesquels il a plaisanté ...